jeudi 3 mars 2011

Nouveau blog en construction! Eureka !!

Bonjour les flâneurs,



Merci de venir visiter mon blog même si je n'écris plus en ce moment.
Pourquoi me demanderez-vous? La raison est simple: problème de positionnement.

Tu es étudiant, ou pas. Tu es planneur digital, ou pas. Tu te lèves un matin et tu t'exclames "c'est décidé, je lance mon blog" (comme une révélation), et ensuite, lorsque tu arrives sous la douche tu songes très fort "et je vais balancer sans vergogne tout ce qui se fait de mieux en matière de marketing digital". Et là, tu n'es peut-être plus sous la douche, pas dans ton bain comme Archimède, mais tu pouffes tout de même "Eureka".

J'imagine une Google Map avec plein de petits "Eureka" similaires qui pousseraient un peu partout, et qui se transformeraient alors en de nombreux Wordpress, Blogger et autres Canalblog ayant tous la même ligne éditoriale, ou qui auraient, en tout cas, dans leur description "digital", "buzz", "2.0", "social media". Alors peut-être sauras-tu te démarquer avec une plume élégante et/ou inédite, mais Google te tuera, car ton billet qui tu pensais être une exclusivité n'est en fait qu'un +1, en 3ème page de recherche sur ton moteur de recherche préféré.

Suis-je en train de baisser les bras? Non, pas du tout, je change juste de positionnement mais pas d'univers. Je réfléchis à un nouveau concept de blog, qui j'espère, prendra forme très bientôt. En attendant, j'ai tout de même deux trois choses à dire, et je vous en ferai part, bien entendu.

Alors, si toi aussi tu as eu un "Eureka" similaire, je te souhaite bon courage, et que la Force soit avec toi. En revanche, si tu n'as pas encore atteint l'étape de la douche, et que tu réfléchis à un concept, que tu aimes écrire, que tu aimes la création, que l'humour est ta devise, alors tu peux m'intéresser!

Tu t'es reconnu? Alors, viens me voir, j'ai un projet pour toi, pour nous, pour vous! ;)

@flaneurdigital

mercredi 24 novembre 2010

Les Crédits Facebook matérialisés et vendus en supermaché !

Vous aviez sans doute remarqué l'apparition depuis quelque temps des Crédits Facebook! Il s'agit d'une monnaie virtuelle qui sert actuellement à acheter des produits sur Facebook tels que des jeux ou autres applications. Ce système monétaire connait depuis un grand succès à en croire les 500 000 millions de dollars amassés par la société Zynga, créatrice de FarmVille et Mafia Wars (je te jure), qui utilise ces crédits.


Le réseau aux 570 millions d'utilisateurs voit en cette monnaie une belle façon de rentabiliser son business. D'autant plus que Facebook récupère 30% des transferts effectués avec ses Crédits. Il n'est donc pas étonnant de les voir aujourd'hui se matérialiser sous forme de Gift Cards vendues en points de vente (photo ci-dessus: chez Tesco au UK). Elles ne sont pas sans rappeler celles distribuées par iTunes.

On imagine aisément une extension de ce business sur Facebook avec la possibilité, pourquoi pas, de créer de véritables Facebook Stores dans lesquels les marques pourraient mettre en ligne leurs produits et les consommateurs les acheter avec des Crédits Facebook. De plus, tous les sites utilisant le Facebook Connect pourraient utiliser ce système de paiement. 

Après s'être attaqué à ses concurrents Twitter et Foursquare, et plus récemment au géant désormais sacré Google, Mark Zuckerberg tendrait-il un piège à PayPal? On peut supposer que le marché peut être investi par Facebook assez rapidement avec une croissance rapide, mais les 30% de commission imposés par le réseau social pourrait rapidement refroidir certains commerçants.

mardi 16 novembre 2010

Facebook vs. Google, la guerre ne fait que commencer



On n'arrête plus Facebook et son NERD de créateur Zuckerberg (je n'alimenterai pas la polémique, he's the CEO, BITCH). En effet, le jeune homme a annoncé la sortie prochaine de son service de courrier électronique. Beaucoup titrait sur la sortie d'un service d'emailing, mais ne nous trompons pas, ça n'en est pas un, et le rouquin le plus puissant de la planète le dit lui-même.


Je vous laisse découvrir la vidéo pour que vous compreniez de quoi il s'agit (si vous n'avez pas l'oreille anglophobe):


Trois éléments sont à retenir (et mis en avant de toute façon):


- Il s'agit d'un service de messagerie qui gère à la fois l'emailing, le Facebook messenger et les SMS. Il sera possible d'utiliser bientôt une adresse @facebook (tout d'abord sur invitation, puis progressivement à tous les utilisateurs), mais celle-ci n'est pas obligatoire. Tout ce qui importe, c'est le message, quelque soit le support par lequel il est diffusé





- On utilise les emails pour communiquer, right? La question qui est alors posée est: sommes-nous obligés de passer par toutes les étapes traditionnelles du processus d'envoi d'un email (topic, cc, cci, ...), pour dire à un ami "Salut"? Non! Et bien, toutes celles-ci sont tout simplement squeezées pour ne retenir que l'essentiel ... encore une fois ... le message. Ces messages seront d'ailleurs regroupés dans un historique simplissime.



- Enfin, Facebook répond à un problème de hiérarchie des messages en fonction des émetteurs. Comme ils le disent si bien, dans une boite d'email traditionnelle, il n'y a pas de différence entre un email envoyé par votre mère, votre banquier ou une facture. Le service de messagerie de Facebook vous propose de trier l'information comme vous pouvez déjà le faire avec votre compte: par amis, amis de vos amis, etc. Il en sera de même pour l'envoi de vos messages: vous pouvez bloquer, accepter, intégrer qui vous le souhaité. Ce système s'intitule: The Social Inbox!

Pour conclure, et comme précisé en introduction: THIS IS NOT EMAIL (...bitch?)! L'important ici c'est le message. On s'affranchit des canaux de diffusion du message. Si je préfère utiliser l'inbox, l'email, le chat, le sms pour discuter, je peux, et toute la conversation restera archivée et regroupée dans une même discussion ... non plus en fonction d'un sujet, d'un support, mais tout simplement en fonction de notre correspondant, de notre ami.

Google et son Gmail peuvent dormir sur leurs deux oreilles car, Facebook ne les concurrence pas dans le domaine de l'emailing. En revanche, il se passe une chose très intéressante: Facebook se positionne comme l'outil de communication pour "amis". Cet espace est réservé à la vie privée: amis, parents et alliés. Et automatiquement, Google est renvoyé dans la case "le reste". Oui, cette case où l'on retrouvera les banquiers, les spams, les offres spéciales, les mails dont on ne sait même plus d'où ils viennent, et pour les contacts professionnels.

Alors, Google est-il sauvé? Oui, bien entendu. Mais son ergonomie et son capital sympathie qui n'ont jusque-là jamais été remis en cause, devront s'adapter au nouvel arrivant Facebook qui peut rendre rapidement l'image de ce premier plus austère. De plus, voilà une nouvelle menace pour Google: le cabinet d'étude Gartner publie une étude dans laquelle il avance que 20% des professionnels abandonneront l'email au profit des réseaux sociaux d'ici 2014! CQFD, Facebook est bel et bien le futur concurrent de Google. Et enfin, il est à noter que Mark Zuckerberg renonce à scanner le contenu des messages à des fins publicitaire, à la différence de Gmail et Yahoo.

Google est donc aujourd'hui en sursis. Si Facebook se veut être l'outil pour communiquer entre amis, il pourrait demain marcher sur les plates bandes des pionniers Gmail et Yahoo en séduisant une cible plus large, réunissant les professionnels de demain.


follow me or like me

mardi 9 novembre 2010

50 Cent et Keenan Cahill - Who's the star ? // (fan-centric communication)

Je vous présente en exclusivité mondiale (non pas du tout), le dernier clip du rappeur 50 Cent:





Tout commence comme une vidéo amateur banale: un dude qui fait du playback sur un morceau connu dans sa chambre. Et en plus, "c'est un freak" (triste appellation)! Tout pour provoquer un rictus, mélangeant moqueries, gêne et compassion. Sauf que, le mec, ce n'est pas (plus) n'importe qui, il s'agit de Keenan Cahill !



Le jeune homme n'en est pas à son premier buzz, bien au contraire. Âgé de 15 ans, cet adolescent collectionne les millions de vues sur Youtube. Il commença ses gammes en postant ses playbacks en 2009. Et les succès s'enchainèrent, de Katy Perry (15 millions de vues) à Justin Bieber, en passant par Lill Wayne, tous les grands classiques sont balbutiés par Keenan.



Keenan Cahill fait très rapidement parler de lui sur toute la Toile. Katy Perry tweetait elle-même "I love him". Et en même temps, elle peut car sa vidéo n'a jamais eu autant de succès sur le net qu'avec le coup de pouce de notre héros. Car oui, ce garçon est un héros. Il est victime en permanence, dans son quotidien, de moqueries, et à tout cela il répond "I think that is a reason why I stand out. I'm fine with that. I just don't care what people say about me." et là on dit bravo. L'enfant devient petit à petit un symbole.

Alors, lorsque aujourd'hui on voit la vidéo de rap "Down on Me" on ne peut s'empêcher de constater que l'intitulé est Keenan Cahill feat. 50 Cent, et non le contraire. On pourrait alors penser qu'il s'agit juste de masquer l'apparition du rappeur, créant un effet de surprise. Oui on pourrait. Mais on pourrait aussi penser que la réelle star ici, c'est l'adolescent de 15 ans, et notre rappeur ... un opportuniste.

Ce qui m'a poussé à relayer ce buzz sur mon blog, c'est la posture prise par l'artiste qui est assez semblable à celle d'une marque sur Youtube. En effet, le rappeur met son public en avant, utilise les codes de l'amateurisme (et par la même, les codes des videos qui buzz), le tout avec une simplicité extrême. L'artiste est au service du fan, comme les marques tentent de le faire pour leurs consommateurs. Il ne s'agit effectivement pas de n'importe quel fan dans notre cas, et tant mieux, le rappeur opte pour une posture de retrait.

Le rappeur bling-bling, roi de la gonflette et de l'égo-trip agenouillé à coté d'un adolescent de 15 ans: un succès annoncé qui bénéficiera à 50 Cent et à Keenan Cahill.

(clip d'origine)



ps: challenge completed, j'ai "justin bieber" en tag sur mon blog!

vendredi 5 novembre 2010

Crétin vs. Crétin et iPhone+Web

Hello mes flâneurs !!

Tout d'abord, je tiens à m'excuser pour mon silence radio. J'ai été assez pris à l'agence et  donc, pas le temps de poster. D'autant plus que je préparais un article long comme çaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa, et par une mauvaise manipulation "frrrcchchcchhc" (bruit de la corbeille Apple), il a été effacé. Alors, non ... non je n'ai pas eu le courage de le réécrire, mais qu'à cela ne tienne, c'était sans doute un signe.

Avant de partir en weekend je viens vous parler de cette application que je viens de tester: Crétin contre Crétin de Renault par Publicis Net.


Il s'agit d'un dispositif assez innovant car l'iPhone est ici couplé avec une page web dédiée à l'opération.

Le principe: téléchargez l'application puis connectez vous sur la page dédiée. Passez votre iPhone en face du QR code affiché sur le web, et "waghablablulibalaaa" (cri du lapin) votre smartphone devient une Wiimote et votre ordinateur une Wii ! Secouez le plus rapidement possible votre nouvelle manette de jeu pour remporter la partie face à l'ordinateur ou face à un ami.

Je Like: la synchronisation de l'iPhone avec la page web. Je dois avouer que j'ai été assez bluffé ... et assez ridicule dans l'open space en agitant mon précieux (ndlr: iPhone).

Je ne Like pas: l'effet pétard mouillé. Une fois ma partie remportée, je me suis surpris à mettre mon iPhone à l'horizontal étant alors persuadé que j'allais pouvoir prendre les commandes de la Renault. Et ... bien ... NON! Quelle déception ! Tout était bien rodé pourtant. J'ai adoré passer mon iPhone devant mon écran pour tagguer le QR code. J'ai adoré voir la rapidité de la connection entre les deux appareils. J'ai adoré agiter le smartphone et voir l'interaction sur la page web. Et franchement on se dit: "tout ça pour ça ?".

Ce que je retiendrai: une superbe synchronisation iPhone+Web !
Ce que j'attendrai: le pilotage de la Renault avec ce même procédé !


Un petit "PS": si je ne poste pas beaucoup ici, sachez que je poste beaucoup ... et il m'arrive de piailler par ... à tout de suite ;)

mardi 12 octobre 2010

Le Bad-Buzz de GAP n'aurait jamais dû arriver!


« Le site va revenir à notre logo iconique avec la boîte bleue, qui deviendra rouge pour les fêtes » - « nous avons beaucoup appris et il est clair que nous nous sommes trompés. Nous reconnaissons que nous avons raté une occasion de créer un lien avec la communauté du web(...) Il y aura peut être un temps pour faire évoluer notre logo mais quand, et si cela arrive, nous nous y prendrons différemment », Marka Hansen dirigeante de GAP.

Retour en arrière: GAP avait lancé au début du mois sur son site leur nouveau Logo (voir ci-dessous). Il n'a pas fallut attendre longtemps avant que des milliers de plaintes soient déposées par les fans de la marque. Finallement et sous la pression, la marque américaine a renoncé à ce nouveau logo, comprenant (encore heureux) et admettant (voilà qui est mieux) avoir fait une erreur.


C'est une erreur qui aujourd'hui n'est pas en-soi très grave, mais qui tend à le devenir. Les cas de bad-buzz de marques sur la Toile se sont multipliés depuis quelques années, et si les annonceurs ont conscience de ce risque, rares sont ceux qui prennent les devants.

A l'heure où nous parlons d'e-réputation et de Community Management, on ne peut plus admettre de tels faux pas de la part de géants comme GAP. Alors tout le monde en parle pour apparaitre dans les derniers Hot Topics, ou alors tout le monde s'y perd et ne comprend pas encore grand chose? Quel est le rôle des agences de communications aujourd'hui dans ce domaine? Comment un annonceur doit-il gérer son e-réputation et principalement à travers les réseaux sociaux?

Nous sommes encore aujourd'hui en période de test et de questionnement. Parmi ces questions, il y en a une que Grégory Pouy s'est dernièrement posé et qui était: "Votre stratégie social media doit-elle être menée par une seule agence?" en réaction à l'affirmation de Pepsi et Microsoft suivante: "aucune agence ne peut répondre à l'ensemble des besoins en médias sociaux". Et j'ai tenté de répondre à cette question avec un regard de baby-rookie-planneur à tendance naïve:

La multiplication des agences spécialisées dans les médias sociaux est en grande partie similaire à l'expansion des agences dites interactives ou digitales il y a quelques années de cela.
Les pionniers, me semble-t-il, étaient ceux qui étaient convaincus par ce nouveau métier, mais qui n'arrivaient pas à l'imposer au sein de leur agence (traditionnelle). N'étant pas forcément soutenus, ils se lancèrent dans l'aventure ailleurs ou à leur compte. Les autres suivirent. Et au final, les agences intégrèrent ce métier.

C'est à peu près ce qu'on peut attendre des agences spécialisées en médias sociaux: un succès dû à leur expertise et effet de nouveauté, puis une intégration dans une structure plus globale, avec uniquement les meilleurs en survie indépendante. La grande différence avec les médias sociaux, c'est que c'est une discipline qui peut s'exercer chez l'annonceur. On parlait du Community Manager? Et bien ce que j'en pense c'est que c'est un métier qui n'est pas (et qui ne doit pas) être réservé aux agences. Le responsable RP d'aujourd'hui est le Community Manager de demain.
 Et au final, je pense que le rôle des agence spécialisées en réseaux sociaux est celui d'informer et d'éduquer les annonceurs afin qu'ils s'adaptent plus efficacement aux nouvelles méthodes et techniques de communication.

La stratégie social media doit-elle être menée par une seule agence? La réponse est oui, dans le cadre d'une campagne globale intégrée ... pas forcément en matière de buzz ou RP (des agences comme We Are Social ont une database bien plus large et bien plus qualifiée aujourd'hui que les agences traditionnelles) ... et pour demain, les annonceurs devraient avoir tous les outils entre leurs doigts pour s'occuper de celle-ci en interne.

Vision utopique concernant la prise de pouvoir de l'annonceur dans une stratégie de social media? Peut-être, mais prenons le temps d'ouvrir le débat. Et imaginons alors que si GAP avait été doté d'une cellule interne dédiée aux médias sociaux tout cela aurait pris bien moins d'ampleur.



ps: Et ne me dites pas que c'était un bad-buzz volontaire ... sauf si vous le pensez fortement ;)



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jeudi 30 septembre 2010

Les temps ont bien changé mon bon monsieur - Google+Apple

Google: 12 ans déjà !

A l'occasion des 12 ans de Google, je vous invite tous à son anniversaire surprise demain soir. Une petite participation de votre part serait la bienvenue. Aussi, en guise de cadeau, pensez à emmener avec vous votre vie privée.

On imagine déjà la réaction: "Ah c'est gentil, justement je ne l'avais pas" avec un ton un peu gêné comme pour dire "en fait ... je l'avais déjà mais ... c'est sympa d'avoir pensé à moi".

Une chose est sûre: Google en soufflant ses douze bougies a fait le vœux, pas intime du tout, de nous aider, nous faciliter le quotidien, nous espionner (voler), et nous revendre, le tout en gagnant en affinité.

Et finalement c'est un peu ça la relation qu'on entretien avec ce géant depuis 12 ans, une relation donnant-donnant avec comme clause principale: donnez plus, pour en avoir plus. Et on a tous signé!

Nous passons en permanence des contrats avec les acteurs majeurs du high-tech et du web. Que ça soit iTunes, Google ou Facebook leur évolution en Bourse est proportionnellement égale à notre perte en vie privée, intimité et anonymat ... et on s'en fout. Alors non, je ne dis pas là que ce sont des escrocs, puisque nous sommes complices. A chaque mise à jour, nous offrons de nous même sans s'en rendre compte puisque nous cliquons en permanence sur "J'accepte les conditions d'utilisation" sans même lire ces dernières, et en même temps, vous là, vous le faites? On nous a donné le choix? Le bouton "Refuser" nous apparait alors comme symbole d'un frein à l'évolution et au confort.

Quel est le prix d'un monde digitalisé dans lequel tout semble plus simple, plus facile, plus rapide? Le soucis, c'est qu'on ne le sait pas encore et lorsqu'on le saura ... ça sera trop tard et on ne regrettera même pas.

Finalement, la liberté passe par la perte de l'anonymat!




Apple: 1984 ça fait 26 ans !




Les générations précédentes redoutaient les années 2000 en imaginant des scenarii catastrophes dans lesquels nous aurions tous des puces sous la peau. Tous sous l'œil attentif et intéressé de
Big Brother. Et Apple en 1984 ironisait là-dessus, semblant opter pour une posture de révolte:

" Apple souhaite faire passer aux consommateurs une conception manichéenne du marché de l'informatique. Il y aurait donc d'un côté une mauvaise technologie, centralisée, autoritaire, qui écraserait et contrôlerait les hommes, symbolisée par le Big Blue IBM. Et de l'autre côté, se trouverait une autre conception de l'informatique basée sur l'indépendance et la liberté et qui serait incarnée par le Macintosh d'Apple."

Qu'en est-il aujourd'hui? Et bien, les puces ne sont pas sous la peau (rassurés?) ... mais dans nos poches, nos sacs à main et on ne s'en détachera plus jamais ... on se bat même pour posséder l'iPhone avant les autres. Si on s'en tient à la vision manichéenne d'Apple, de quelle coté de la Force se trouve la Pomme?
Alors, qui de Steve Jobs ou de Mr Tout-le-monde fait la meilleur affaire? "Vous avez quatre heures ..."





Et vous verrez pourquoi 2012 [l'année] ne sera pas comme 2012 [le film] ... mais presque ... et encore une fois ... on s'en fout!